Témoin

Du Christ au Mont des oliviers de Beethoven, Constance Luzzati nous montre à quel point il entre en résonance avec les préoccupations du compositeur, à quel point aussi il peut être héroïquement humain

  Abdelhamid ben Badis est né en 1889 au sein de la bourgeoisie de Constantine. Après des études à la Zitouna de Tunis, développant ses talents dans l’art du tasfir (l’exégèse), il revient dans sa ville natale en 1911 où ...

Samuel Macaigne nous invite à comprendre le gnosticisme teinté d’athéisme de Vigny ou Nerval comme un doute utile à la foi – une foi en un Royaume d’ores et déjà présent, ici et maintenant.

Les premières années de la Réforme allemande sont une période de profondes transformations sociétales. Parmi celles-ci, il faut mentionner le rôle acquis par certaines femmes dans la diffusion du message réformateur. La vie d’Argula von Grumbach en est un exemple ...

Jacques Lefèvre d’Étaples (v.1450-1537) n’est pas sur le Mur des Réformateurs à Genève. néanmoins il a sa place dans la Réforme, lui qui a « profané » les textes sacrés pour les rendre disponibles aux croyants de son temps. Maxime Michelet nous fait le récit de son geste précurseur.

Guillaume Farel est un des grands Réformateurs ; il fait partie des quatre Réformateurs représentés sur le Monument international de la Réformation à Genève. Mais certains aspects de sa personnalité sont discutables…

Thomas More (1478-1535), juriste, philosophe et théologien anglais, a écrit en 1517 une œuvre très originale, L’Utopie, satire de son époque et description d’un monde idéal. Il y prône par exemple la suppression de la propriété, la totale tolérance religieuse et dénonce les dérives de l’Église.

Moins connu que Luther et Calvin, Ulrich Zwingli a pourtant suivi un parcours assez semblable. Il a beaucoup contribué au développement des Églises réformées en Suisse alémanique. Il a aussi été un précurseur du « christianisme social ».

Prédicateur exceptionnel, Élie Lauriol était aussi un grand libéral, et fervent défenseur du christianisme social. On rapporte de lui cette formule : « Le christianisme social, c’est le christianisme tout court ; tout court, mais pas trop court. »

À une époque où le concile Vatican I vient de proclamer l’infaillibilité pontificale et l’inerrance biblique, Alfred Loisy, enseignant à l’Institut catholique de Paris, reconnaît l’intérêt de la méthode historico-critique de lecture de la Bible prônée par les protestants libéraux.