Agir

Être aumônier, c’est faire de la parole du Christ une présence permanente rappelant que la Grâce ne connaît ni frontière, ni barrière, ni concept à la mesure de l’humain.

Le Collectif des morts de la rue accompagne les défunts qui quittent ce monde dans l’isolement et qui n’ont personne pour les honorer au moment de leur enterrement. Vincens Hubac nous présente ce collectif dont la devise est : “En honorant ces morts, en interpellant, nous agissons pour les vivants”.

Les lieux sont à l’image des hommes : ils ne sont jamais figés, tant dans leur forme que dans leur aspiration. Alain Bienvenüe retrace l’évolution d’un lieu qui, de manège est devenu église. Alors qu’il s’apprête à effectuer une nouvelle mue, ce qui fut, par le passé, un carrousel semble nous rappeler qu’il reste tout de même fidèle à une vocation profonde : l’accueil !

Accueillir les personnes en difficulté est une exigence commune à tous les croyants. Un tel accueil peut provoquer de nouvelles communions par delà les instituions. C’est l’expérience des communautés de la vallée de Chevreuse, que nous raconte Jeannie Persoz.

L’Église ma’ohi se bat pour faire reconnaître les conséquences des essais nucléaires qui ont été menés par la France dans le Pacifique.

  Le 4 novembre, les habitants de la Nouvelle-Calédonie, Territoire d’Outre-Mer de 268 000 habitants, seront invités à se prononcer par référendum sur la question de leur avenir institutionnel : « voulez-vous que la Nouvelle-Calédonie accède à la pleine souveraineté ...

François Faure nous donne de regarder l’espérance à travers les lunettes de l’action et de la préservation de nos ressources. Mettre de côté nos désirs personnels pour donner un sens – mieux encore … une âme – à nos ouvrages au quotidien.

Des milliers de migrants trouvent la mort, chaque année, en tentant de fuir la guerre et la répression. Face à une telle catastrophe humanitaire, quelle place l’Église doit-elle occuper ? Adrien Sekali nous présente les actions qui ont été entreprises, à l’appel, entre autres, de la Fédération Protestante de France (FPF) tant par des laïcs que des religieux.

Jean-Paul Augier nous propose de poser le regard de la CIMADE sur les centres de rétention administrative de France et sur les difficultés ou les paradoxes qui s’y présentent.

Jean-Paul Augier nous invite à découvrir l’œuvre du Refuge, une association dont l’objet est d’accueillir, depuis 2003, des jeunes gens victimes d’homophobie et de transphobie.