Nombreux sont celles et ceux qui poussent la porte de l’Oratoire du Louvre pour la première fois, chaque semaine. Sans doute s’agit-il pour certains d’assouvir une simple curiosité. Mais d’autres arrivent ici après un long périple et une recherche ...
Lire la suite...Un théologien témoigne
L’américain John B. Cobb (né en 1925) est le représentant le plus connu de la théologie du Process. Il a publié de nombreux livres, entre autres Dieu et le monde, et Thomas pris de doute, traduits en français chez ...
Lire la suite...De quoi sommes-nous sauvés ?
Dans cette série les auteurs répondent brièvement à la question suivante : De quoi sommes-nous sauvés ? C’est Pierre-Olivier Léchot qui s’est prêté à cet exercice ce mois.
Lire la suite...Pape
Chaque mois, nous proposons de mettre en exergue un mot de la chrétienté qui peut se montrer dérangeant, douloureux ou complexe. Mais ce qui nous rebute en dit parfois plus long sur ce qui nous définit et sur ce qui nous guide dans notre foi. Derrière ces mots que l’on n’aime pas, nous trouverons peut-être une idée commune qui parle à chacun sans que l’on en ait conscience.
Lire la suite...Gotthold Ephraïm Lessing ou la vertu du frottement des religions
Le protestantisme libéral se réclame volontiers de Friedrich Schleiermacher, de Jean-Jacques Rousseau ou de Sébastien Castellion. Mais il ne s’arrête que rarement à l’œuvre et à la pensée de Gotthold Ephraïm Lessing (1729-1781). Pourtant, Lessing est sans conteste l’une ...
Lire la suite...Immorale, la grâce ?
« C’est par la grâce que vous êtes sauvés par le moyen de la foi… ce n’est point par les œuvres » écrit Paul. André Gounelle nous explique en quoi voir dans le péché une maladie plutôt qu’une faute et dans la foi une vie en compagnie de Dieu et non l’adhésion à des doctrines éclaire cette affirmation.
Lire la suite...John Viénot, la Bible et l’Homme moderne
À l’orée du XXe siècle, le théologien John Viénot (1859-1933) élabore un libéralisme compris comme l’aboutissement naturel de la “méthode protestante”. Raphaël Georgy nous dresse son portrait.
Lire la suite...N’abusons pas du mot « grâce »
Ne fait-on pas, dans le protestantisme, et surtout dans nos cultes, un usage parfois inconsidéré du terme « grâce » ? Une ascèse en la matière serait peut-être bienvenue.
Lire la suite...Friedrich D. E. Schleiermacher (1768-1834), modernité et subjectivité
Faut-il que le nœud de l’histoire se défasse ainsi ? Que le christianisme s’allie à la barbarie et la science à l’incroyance ? » Cette question angoissée posée par Schleiermacher en 1829 dans une lettre ouverte adressée à son ...
Lire la suite...L’homme intérieur l’abscondité de la foi
Trois mois après le Jubilé des 500 ans de la Réforme, peut-on essayer d’en repenser quelques idées forces, susceptibles de conserver une pertinence actuelle par-delà les commémorations d’usage ? Pour cet exercice, j’aimerais en retenir deux, qui forment couple, ...
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