D’abord parce que la mort est l’une des étapes de la vie. C’est d’ailleurs à partir du moment où la mort a été intégrée comme un élément incontournable de notre histoire personnelle que nous pouvons nous mettre à vivre ...
Lire la suite...La théologie du Process en Église
À Boston, dans l’État du Massachusetts, aux États-Unis, se trouve une Église protestante dont la devise est : « Dieu parle encore » (« God is still speaking »). Pour moi, cette devise est rassurante car elle signifie que ...
Lire la suite...Le deuil de nos animaux est chose sérieuse
En interrogeant la question du lien entre humains et animaux à travers le prisme des animaux de compagnie, Jean-Marie de Bourqueney nous invite à repenser notre façon toute protestante d’accompagner le deuil de nos congénères.
Lire la suite...Parler de Pâques aujourd’hui
Jésus, tel que les évangiles nous en tracent le portrait, meurt par la volonté de dirigeants religieux. Ceux-ci sont jaloux de leur pouvoir qui pourrait leur être contesté par cet homme qui a non seulement du succès auprès des ...
Lire la suite...Les « invisibles », entre la peur la honte
Comment aider ceux qui vivent l’extrême pauvreté comme une honte et choisissent de se rendre invisibles ? Notre société n’est-elle pas aveugle ? Lorsqu’ils meurent, une association, le Collectif des morts de la rue, veille à la dignité des funérailles et au soutien des proches en deuil.
Lire la suite...La miséricorde : s’approcher, être touché, recevoir
Notre société s’interroge sur sa capacité à aimer. Or la miséricorde peut nous aider à essayer encore et encore. Elle met notamment l’accent sur trois passages incontournables. Tout d’abord, aimer c’est s’approcher. Nous pouvons passer du temps à recenser ...
Lire la suite...Perdre un ami
Perdre un ami, ce n’est pas seulement éprouver les sentiments et les émotions que l’on peut ressentir dans toutes les formes de deuil, l’impression d’être meurtri, d’être terriblement seul, d’avoir perdu des repères quotidiens de la vie. Plus difficile à reconnaître et à exprimer que dans un deuil familial, le choc que tu éprouves te surprend peut-être par sa manière de te rejoindre dans ton être même. L’ami que tu pleures était-il une partie de toi-même, pour que tu te sentes ainsi amputé ? Jean-Marie Gueullette. « reste auprès de moi mon frère. Vivre la mort d’un ami. »
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