La réunion de plusieurs centaines de personnes en banlieue parisienne à l’occasion d’une fête en novembre m’a renvoyé à la superficialité de certaines vies. S’il nous faut être vigilants quant aux libertés fondamentales qu’un état d’urgence, fut-il sanitaire, pourrait menacer, je reste atterré par le fait qu’autant de personnes n’aient pu résister à l’appel…
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