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Dans son livre Le Retour du Prince, V. Martigny décrit le processus de résurgence d'un « Prince » machiavélien, mais d’une manière mutante causée par des processus de personnalisation, de spectacularisation, que Guy Debord et Claude Lefort pressentaient et annonçaient dès les années 1960. Loin de se perdre dans le pessimisme, les conclusions de son livre invitent le citoyen à « édifier une communauté civique nouvelle ».

Un moment contraint de vérité La crise sanitaire que nous connaissons, ses conséquences sur notre vie quotidienne et sur l’organisation de notre société, est un moment rare de vérité où nous nous trouvons placés devant l’ultime. Nous prenons brutalement conscience ...

Les enjeux humains de la crise sanitaire actuelle Avec l’épidémie en cours et les peurs naturelles mais aussi irrationnelles qu’elle entraîne, on peut craindre le développement de tendances mortifères pour notre humanité et à un autre niveau que celles du ...

Les cultes-conférences du Foyer de l’Âme – Janvier 2020   sur le thème : Je ne sais pas LES DIMANCHES, À 10H30   5 janvier 2020 « Croyances, savoirs, opinions.  Information scientifique et communication » Henri Atlan Biologiste, philosophe — ...

La croix est-elle symbole de mort ou de vie ? Peut-on envisager d’autres symboles du message de l’Évangile, plus explicites pour nos contemporains ?

Les avancées pharmaceutiques ont indéniablement permis de réduire la douleur, mais elles ne peuvent rien contre la souffrance, ce sentiment d’impuissance face à un réel non conforme à nos aspirations. Souffrir étant insupportable, les sociétés se sont employées à trouver un sens à la souffrance ou à en masquer l’existence. Et si ces deux voies étaient des impasses ?

Un des principaux obstacles au dialogue oecuménique est sans doute la conception que certaines Églises se font du sacré. La notion est ambigüe et il est d’autant plus utile, pour l’intelligence de la foi, de la bien cerner. Mais la tâche est ardue, car le sacré s’enracine profondément dans l’affectivité, voire dans l’inconscient collectif ! Une approche anthropologique nous permettra de clarifier la notion et du même coup, le problème théologique sous-jacent.

Une parabole tirée de l’évangile apocryphe de Thomas est l’occasion, pour Vincent Schmid, de montrer que la foi n’est pas nécessairement la victoire d’une force intérieure héroïque, mais qu’elle peut aussi être l’expérience d’une vacuité permettant d’accueillir Dieu.

Qui est Jésus ? Les plus grands théologiens se sont prononcés, ils ont écrit des milliers de pages sur ce sujet. Il ne s’agit pas ici d’allonger la liste, mais plutôt de permettre à chacun(e) de répondre à la question et cela librement, dans son for intérieur.

Suivant les époques et les sociétés, les chrétiens doivent lutter contre certaines attitudes qui empêchent les humains d’avoir une vie épanouie, libre et ouverte à la grâce. James Woody y discerne des « ennemis ». Dans notre société quel doit être notre combat ?