Tag archives : incarnation

le sens du récit de Noël ! Tout le reste (la crèche, le sourire de Marie, les anges dans nos campagnes), tout cela n’a de sens que si nous entendons ici et maintenant retentir l’appel qui nous est adressé depuis ...

À partir de ce qui pourrait être une simple question pratique concernant le fait de coller ou non un autocollant sur sa voiture, Christophe Cousinié nous livre une réflexion sur le blasphème et la liberté de la foi.

Pour poursuivre nos réflexions sur le rôle et la place du Conseil presbytéral, Michel Bertrand nous invite à réfléchir aux enjeux de formation des conseillers au regard de leur mission, tant vis à vis de la Cité, de la Communauté qui les a choisis, que de l’Église à laquelle ils appartiennent.

En ces temps où priment les images, Goran Sekulovski nous propose de nous interroger sur le sens et la puissance qu’il est possible d’accorder aux «images religieuses», aux icônes, en nous offrant un aperçu de la pensée orthodoxe en ce domaine.

  Un peu de douceur dans un monde de brutes, c’était le slogan – bien senti – d’une marque de chocolat. Et nos contemporains l’ont adopté et répété, signe que, finalement, on ne se sent pas toujours tellement super forts. ...

Être chrétien, c’est avoir la conviction que Jésus est le christ. André Gounelle développe ici une réflexion sur le sens du terme « christ ». Il en propose une compréhension possible sans prétendre qu’elle soit la seule vraie ni qu’elle soit totalement satisfaisante.

Henri Persoz nous propose de réfléchir au dogme, au mystère de l’Incarnation, dévoilant par là l’une des possibles approches «libérales» de ce prodige. Une approche qui laisse non seulement sa place aux nuances, mais convoque chacun d’entre nous.

Le Christianisme oppose-t-il, dans sa conception, le corps et l’âme pour mieux affirmer l’importance de cette dernière en niant la matière de l’autre ? Ou est-ce une idée reçue trop souvent affirmée ne trouvant pas d’assise dans les évangiles ? Abigail Bissac nous propose une réflexion sur ce thème en n’opposant pas l’un au détriment de l’autre, mais en remettant la question de l’identité au cœur de la question.