Tag archives : péché

« Il n’y a que les gens bien élevés qui soient impertinents avec politesse ». Homme de lettre, Édouard Alletz 1840.

  Je suis libéral. J’aime Dieu et la Bonne nouvelle. Le dimanche je traverse volontiers le square où jouent les enfants et où les amoureux s’embrassent pour aller tout heureux au temple, bien habillé et rasé de près. Mais je ...

« Votre foi est-elle une béquille ? » C’est une question qui revient souvent, et qui masque parfois à peine une critique. Voici une réflexion sur cette question, qui rappelle que la faiblesse n’est pas étrangère à la foi chrétienne.

Si le Salut est souvent compris comme une promesse, nous voyons dans les évangiles qu’il est en fait le présent de ceux à qui il est annoncé, il est une libération (traduction possible du mot Salut). Jésus libère d’un système ...

« C’est par la grâce que vous êtes sauvés par le moyen de la foi… ce n’est point par les œuvres » écrit Paul. André Gounelle nous explique en quoi voir dans le péché une maladie plutôt qu’une faute et dans la foi une vie en compagnie de Dieu et non l’adhésion à des doctrines éclaire cette affirmation.

En automne 1519, quelque six mois après son arrivée à Zurich, le futur réformateur Zwingli est tombé malade de la peste, mais en a réchappé. Sitôt après avoir retrouvé la santé, il a composé (paroles et musique) un « Pestlied » dont Bernard Reymond nous propose la première traduction française à l’occasion de l’épidémie de Covid19.

L’Homme est-il différent de l’animal ? C’est la question que nous avons posée à Gilles Bourquin. Selon lui, l’Homme est une créature éthiquement unique.

   Manquer de possible signifie que tout nous est devenu nécessité et banalité. Søren Kierkegaard Être libre, c’est avoir le courage de recommencer : telle est la philosophie de la maternité. Julia Kristeva Un pessimiste voit la difficulté dans chaque ...

Jean Dietz nous propose une relecture d’une sentence devenue poncif de bien des assemblées. Une relecture qui nous en montre toutes les dimensions et dévoile l’appel à la conversion qu’elle comporte.

Un christianisme qui faiblirait numériquement en Europe doit-il nous conduire à l’abandonner en pure perte ? Le temps est-il venu de passer à autre chose ? Henri Persoz trouve dans sa pratique de prédicateur, les raisons de restituer l’essence du christianisme ; restitution on ne peut plus nécessaire pour répondre aux problèmes humains qui n’ont pas disparu, eux.