Michel Barlow a consacré un bel article à Jésus qui nous a libérés du sacré (E & L, janvier 2014, no 275). Laurent Gagnebin prolonge ici cette réflexion en l’appliquant au protestantisme. Ce dernier, en effet, n’a-t-il pas procédé à une désacralisation radicale, celle du temps, de l’espace, des personnes (sacerdoce universel) et même de la Bible ?
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