Peignant une fresque gigantesque, articulant les questions de la biologie évolutionniste à celles de la théologie de la création, sans les opposer mais en les conduisant à se féconder l’une l’autre, Michel van Aerde tente une synthèse écologicothéologique pertinente du cosmos, en intégrant la souffrance (la croix) au processus d’autogenèse de l’univers.
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