Tag archives : Albert Schweitzer

Psychopathologie du nationalisme est constitué d’un recueil de textes traduits et présentés par Jean-Paul Sorg dans une optique clinique : « Une maladie mentale de la civilisation ». Livre d’une actualité évidente, d’une lecture indispensable quand bien même ces réflexions ...

Peu avant sa mort, Jésus évoque la venue future du Paraclet. Ce mot, forgé d’après le grec, est parfois traduit par Esprit Saint, consolateur ou avocat. Henri Persoz éclaircit la signification de ce terme, qui ouvre l’avenir à des interprétations évolutives du message de Jésus.

  L’idée de Dieu remonte aussi loin que l’histoire des hommes. Les très anciennes civilisations font état d’un pouvoir suprême, maître et organisateur du monde, maître aussi de la vie et de la mort. Pour certaines, il est aussi le ...

  Dans une lettre du 25 septembre 1903 à Hélène Bresslau, qu’il épousera en 1912, Albert Schweitzer écrit : « Je crois parce que j’agis. » On pense, à la première lecture de ces mots surprenants, qu’il y a là ...

La culture ne doit pas être simplement comprise comme un ensemble de réalisations, mais bien et surtout comme une entreprise inventive et dynamique. Ses actions marquent notre environnement naturel, se l’approprient, le transfigurent et, en quelque sorte, l’humanisent. La nature ...

Historiquement, Jésus reste pour nous une énigme. On en ignore presque tout. Est-ce vraiment grave ? L’histoire « sainte », justement suspecte aux yeux des historiens en raison de ses inexactitudes factuelles, en dit plus et apporte autre chose que les études historiques les plus rigoureuses.

Albert Schweitzer, L’Esprit et le Royaume, Paris, Arfuyen, 2015, 258 pages

Matthieu Arnold, Albert Schweitzer, la compassion et la raison, Lyon, Olivétan, 2015, 136 pages

Matthieu Ricard, Plaidoyer pour les animaux. Vers une bienveillance pour tous, Paris, Allary Édit., 2014, 370 pages.

Michel Barlow a consacré un bel article à Jésus qui nous a libérés du sacré (E & L, janvier 2014, no 275). Laurent Gagnebin prolonge ici cette réflexion en l’appliquant au protestantisme. Ce dernier, en effet, n’a-t-il pas procédé à une désacralisation radicale, celle du temps, de l’espace, des personnes (sacerdoce universel) et même de la Bible ?