Samedi 4 janvier 1913. C’est la date de parution du premier numéro d’ Évangile et liberté. Cependant, nous lisons en tête : Vingt-huitième année. No 1. Paradoxe qu’expliquent les directeurs L. Lafon, A. Reyss et J. Jézéquel en ...
Lire la suite...Un conte de Noël vécu : Auguste Sabatier raconte une parabole vivante
« Au contraire, quand tu donnes un festin, invite des pauvres, des estropiés, des boiteux, des aveugles et tu seras heureux parce qu’ils n’ont pas de quoi te rendre. »
Lire la suite...Guérison à distance (Luc 7,1-10)
Faut-il voir et recevoir Jésus pour bénéficier du salut qu’il offre ? Cette histoire montre qu’il faut surtout l’écouter, même de loin.
Lire la suite...À quoi sert la cène ?
Karl Barth, rencontrant le père Congar, lui a posé cette question : « Comment pouvez-vous attribuer une telle importance à l’eucharistie alors que, dans le Nouveau Testament, elle occupe si peu de place ? » Les Réformateurs en ont ...
Lire la suite...La prière qui dérange
Curieuse histoire d’amis dérangés et dérangeants. Elle explique que la prière, en plein milieu de ce dérangement, se fait à trois.
Lire la suite...Baruch Spinoza
Spinoza, philosophe, héritier critique de Descartes, exclu de la communauté juive pour hérésie, considéré comme athée de son vivant, eut une influence considérable sur la philosophie et la théologie. Il est l’inventeur de la critique historique appliquée à la Bible.
Lire la suite...3. Un Dieu nécessaire
Dieu est trancendant. Comment parler de lui ? Peut-être faut-il se contenter de constater sa présence dans l’action de ceux qui font tout pour venir en aide à l’humanité souffrante.
Lire la suite...Dieu a besoin des hommes
Comment Dieu agit-il sur la terre ? Chacun a sa réponse, suivant l’interprétation qu’il donne de la puissance de Dieu. Le très vieux livre du Deutéronome avançait déjà quelques idées sur la question.
Lire la suite...Le Prix «Évangile et Liberté» décerné à un chercheur de Dieu
Quelle aventure ! C’est en 2006 que le Conseil d’administration eut l’idée de ce prix. Elle a cheminé dans les têtes et un premier projet de règlement du concours a été adopté par le Conseil en 2007. Puis le ...
Lire la suite...Seigneur
Comme la divinité ne doit pas être nommée, les fils d’Israël prononcent « Adonaï » lorsqu’ils lisent « Yahvé » dans la Thora. Adonaï signifie « mon Maître ». Les juifs d’Alexandrie qui traduisirent la Thora en grec (ce ...
Lire la suite...