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Question : Quelle est la différence entre religion et secte ?

 Réponse de Gilles Castelnau

Une religion est un ensemble de propositions théoriques et pratiques destinées à vous aider à vivre votre spiritualité. Si vous étiez vraiment un enfant de Dieu conscient et organisé vous n’en auriez pas besoin. Mais comme c’est rarement le cas, choisissez la religion (ou la philosophie) qui vous convient le mieux.
Une secte n’a pas pour but de vous aider. Elle vous fait croire que vous êtes différent des autres car vous « connaissez la Vérité ».
Comme son nom l’indique la secte « sectionne » vos relations avec les autres gens, à commencer votre famille, vos amis, les gens normaux. Vous ne pouvez plus penser à autre chose, vous ne pouvez plus parler d’autre chose, vous ne cherchez qu’à convaincre les autres. C’est exactement le contraire d’une religion.
Une religion vos rend humain, sympathique, souriant.
Un secte vous rend inhumain, désagréable, détestable.
Il faut quand même remarquer que dans les grandes religions il y a parfois des groupes sectaires. Le nombre ne fait rien à l’affaire.

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26 commentaires

  1. Gilles est un peu manichéen dans sa réponse, faisant du bien-être des gens un critère pour reconnaître la secte … mais ça ne marche pas. On connaît des sectaires sympathiques, souriants, débonnaires … et des religieux refermés sur eux-mêmes et angoissés notamment du fait de pas être sûrs de la vérité ! C’est du reste tout le problèmes : si les sectes ne faisaient que des névrosés et des gens replié sur leur groupe, elles s’éteindraient progressivement. En la matière j’utilise un argument théologique et ecclésiologique : est secte tout groupe qui prétend au monopole du salut. C’est pourquoi, il me semble qu’il n’y a de secte que pour les religions (au sens le plus large) de salut (là encore au sens large).

  2. bonjour je suis frederic couvreur je vie à noumea jai prix mon bapteme d’eau a l’église de normandi le 27.12.2009.je suis très heureux pas de probleme .c une bonne religion lévangile.

  3. Cette différence « évidente » entre sectes et religions ne résiste pas à l’analyse comme le démontre clairement l’article http://www.pseudo-sciences.org/spip.php?article1027

    « Lorsqu’en Belgique, la Commission parlementaire sur les sectes, réunie en 1996, décida de consulter des experts en la matière, elle fit venir d’universités différentes et de spécialités diverses des professeurs, dont j’étais. Seuls les théologiens affirmèrent détenir des critères pour distinguer les « bonnes » religions des mauvaises. Sans s’être nullement concertés, les autres professeurs, confrontés à la question « quelle est la différence entre sectes et religions ? » répondirent avec une belle unanimité qu’il n’était pas de critères fiables permettant de séparer les unes des autres ».

    Tous les critères objectifs imaginés pour caractériser les sectes (taille du groupe, longévité, sacrifice de la vie personnelle, pouvoir inconditionnel du chef, signes distinctifs, obéissance, coupure de la vie « normale » etc…) pouvaient être appliqués aux grandes religions ou au moins à certaines formes qu’elles ont prises, comme le monachisme ou la vie conventuelle ».

    En effet, tout cela est subjectif. Ajoutons les propres lois juridiques d’un pays, son passé de tolérance, son éthnique, alors nous trouvons des points de vue sur les groupes philosophiques ou religieux diamétralement opposés. La Belgique, en théorie, serait plus acueillante au niveau des groupes religieux majoritaires mais il y a encore un long chemin à faire pour enlever les a-priori sur les minorités religieuses.

    Dans ce paysage, l’observatoire des sectes (CIAOSN) semble être un outil bien peu adéquat, puisque lui même est au service d’un point de vue particulier, que certains qualifient de biaisé.

  4. Le mot « secte » a pris un sense bien péjoratif de nos jours et ça, ce n’est pas un hazard. D’abord, il n’en existe aucune définition légale. Pour contourner le problème certaines « autorités » en la matière ont cité un certain nombre de caractéristiques. Mis à part que ces caractéristiques peuvent en fait s’appliquer à n’importe quel groupe, il y a un aspect plus tordu dans cette façon de procéder. Les caractéristiques citées pour reconnaître une secte tombent sous la définition des stratégies de manipulation dont le premier point est la diversion. C’est un élément primordial du contrôle social. La stratégie de la diversion consiste à détourner l’attention du public des problèmes importants et des mutations décidées par les élites politiques et économiques, grâce à un déluge continuel de distractions et d’informations insignifiantes.

    Le second point consiste à créer des problèmes, puis offrir des solutions. C’est exactement ce que font les organisations anti-sectes financées par l’Etat ou privées.

    Il y a un article très informatif sur le sujet à http://www.syti.net/Manipulations.html

  5. Je crois que Gilles Castelnau, en disant à propos des sectes, « Vous ne pouvez plus penser à autre chose, vous ne pouvez plus parler d’autre chose, vous ne cherchez qu’à convaincre les autres. » il fasse une confusion avec la politique.

  6. Une religion est une secte bien établie. Une secte est un nouveau mouvement religieux.

    De tout temps, les sectes ou nouveaux mouvements religieux ont été combattues par l' »établissement » politiques ou religieux du moment: les premiers chrétiens, pour se protéger, ont vécu dans les catacombes – ce qui n’a pas empêché d’ailleurs ces mêmes chrétiens de persécuter plus tard juifs, franc-maçons, et cathares. Et maintenant nous avons la franc-maçonnerie laïque, combatant toutes formes de spiritualités. Et d’insister que la Franc-maçonnerie n’est pas une secte alors que beaucoup la considère comme le groupe le plus sectaire de tous.

    Ceci étant dit, chacun à le droit à ses propres opinions, et ce droit inclut le fait de critiquer ou de soutenir celles des autres. Mais lorsque cela dégénère en campagne de propagande contre tout mouvement alternatif et que ces campagnes sont financées avec l’argent des contribuables, je pense que la démocratie a pris un bien mauvais tournant.

  7. Cette question, beaucoup de monde se l’est posée. Et beaucoup d’enre a coulé pour essayer d’en définir une réponse satisfaisante. Dans son article « Sectes, Églises et nouveaux mouvements religieux », Nathalie Luca (chercheuse au CNRS, chargée de recherche au Centre d’études interdisciplinaires des faits religieux de l’EHESS0)

    y trace des lignes directrices utiles (Voir l’article complet : http://eduscol.education.fr/cid46344/sectes-eglises-et-nouveaux-mouvements-religieux.html )

    Curieusement, cela se trouve à des années lumière des concepts manipulés par les lobbies anti-sectes qui eux se contentent de couper tout ce qui dépasse du cadre du politiquement correct.

  8. Peut-on établir une différence objective entre sectes et religions ? À cette question les réponses sont variées : les sectes sont nuisibles, dangereuses, à surveiller de près ; les religions, elles, ont un bon fond (bien que parfois perverti), elles comblent des aspirations humaines naturelles et sont infiniment respectables.

    Ce distinguo n’est pas seulement généralisé chez les croyants des grandes « religions » mais se retrouve aussi chez bon nombre de libres-penseurs et rationalistes, tout au moins dans certains pays d’Europe comme la France, l’Allemagne, l’Autriche et la Belgique franco-phone.

    Or cette différence « évidente » entre sectes et religions ne résiste pas à l’analyse comme le démontre clairement l’article http://www.pseudo-sciences.org/spip.php?article1027

  9. Je ne pense pas que le problème soit dans la différence entre religion et secte. Par contre, j’ai la forte impression que ce problème de « sectes » est un vaste canular qui ne sert qu’à justifier le gagne pain de scribouillards malhonêtes qui prétendent se rendre utile en faisant un foin à propos d’un problème qu’ils ont eux-mêmes monté de toutes pièces ou bien qui est dicté par certains intérêts particuliers tels que décrits dans ce témoignage: http://www.dailymotion.com/video/k1Ol0wErvsqjYC6NNE

  10. Les opposants les plus virulents sont en fait d’anciens membres. Malheureusement, à notre époque, c’est auprès de ces gens-la que les autorités et les médias se réfèrent pour puiser leurs « informations » sur les « sectes ». Quelle crédibilité doit-on accorder à ces détracteurs? http://www.sectes-infos.net/motivation_apostats.htm

  11. Je n’ai trouvé personne qui ait pu donner une réponse satisfaisante concernant la différence entre religion et secte. Peut-être qu’il n’y en a pas vraiment…

    Où finit la secte et où commence la religion? Qu’elles en sont les frontières? Lorsqu’elles sont respectées par les pouvoirs publics, les sectes deviennent des religions.

    Quiconque se bat contre les sectes se bat d’une façon couverte contre les religions. Nous avons l’exemple clair en France avec la Miviludes http://www.sectes-infos.net/communiques_presse_215_affiche_antisectes_creches_ecoles.htm et en Belgique avec le Centre d’avis et d’information sur les sectes nuisibles (CIAOSN).

    Ses membres ont établis des critères de mouvements sectaires qui en fait s’appliquent aussi aux religions. C’est contre la spiritualité que leur combat se situe.

    Il y a une autre catégorie d’opposants aux sectes, et ce sont les bigots religieux qui voient dans toute pensée ou croyance autre que la leur, une hérésie. Mais même ça peut se réduire à la prémisse ci-dessus.

    Cavanna, de Charlie Hebdo, avait déjà dit en juin 2000 que « Opposer « secte » à

    « religion sérieuse » est jouer sur les mots. Une secte est une religion à son aurore. Une religion est une secte qui a réussi ».

    « Attaquer une secte sur le dogme serait mettre l’accent sur l’absurdité de tout dogme et conduirait fatalement quiconque réfléchit un tant soit peu à appliquer la remise en cause aux dogmes mêmes des « trois religions du Livre » .

    Que ce soit Cavanna de Charlie Hebdo ou un autre qui le dise, ça donne à réfléchir.

  12. Si ce n’était par les médias ou par la propagande des associations anti-sectaires, je suis sûr que la plupart d’entre nous n’aurait jamais entendu parler de la plupart des « sectes » décriées par ces mêmes médias et associations anti-sectaires. Les membres de ces associations n’arrivent pas à concevoir et encore moins à respecter le fait que dans une société démocratique chacun ait le droit à ses propres croyances et opinions et le respect de celles-ci par ceux qui ne les partagent pas. Voyez ce que dit Voltaire à ce sujet: http://marycherby.centerblog.net/195-priere-de-tolerance-voltaire-

  13. Bonjour.

    kazabe8,

     » c une bonne religion lévangile. »

    L’Evangile une religion ? ?

    Je pensais que c’était plutôt la Vie, la Liberté que Jésus-Christ propose, donne, auxquelles Il nous permet d’accéder si nous le souhaitons.

    Ou bien n’ai-je rien compris en lisant ce livre-bibliothèque appelé Bible ?

  14. Quelle est la différence entre religion et secte? Il n’y en a pas si ce n’est par convention. C’est là un des aspects troubles de la politique anti-sectes. Elle procède par amalgame de type stalinien, unissant artificiellement des mouvements religieux à d’autres qui ne le sont nullement et qui n’ont aucun rapport avec ceux-là.

    Voyez le très bon article sur le sujet à http://www.observatoire-religion.com/2013/03/le-mal-traitement-des-nouveaux-heretiques/

  15. La politique anti-sectes : surtout face à des dérives dangereuses ; c’est normal. Rassurer et s’assurer. Mais aussi, dans la vie sociale, nous avons des responsabilités à l’égard d’autrui, au regard de sa bientraitance, de sa santé.

    Quand on est dans le domaine du « spirituel »( – reste à définir le spirituel et le religieux…), le social n’a pas de contrôle sur les personnes dans leur être intérieur, mais peut contrôler les effets malfaisants sur celles-ci. Mais n’est-ce pas aussi, normal quelque part : veiller à ce qu’autrui vive sainement.

    C’est très intéressant de regarder comment chacun vit en fonction de ce qu’il croit, pour lui-même et avec les autres.

    A quoi correspond sa vie, son mode de vie, à quelle forme d’enseignement.

    Entre secte et religion, ce qui me semble important est plutôt : est-ce que l’une ou l’autre conduise à la Vie ?

    En quoi, me permettent-elles de vivre vraiment, pour moi-même et avec les autres, la Vie qui vient de Dieu, qu’apporte l’Evangile ?

  16. On braque le projecteur sur quelques groupes minoritaires d’honnêtes citoyens qui pensent pas comme tout le monde pour détourner l’attention des gens des vrais problèmes qui pourrissent la société. Voyez le très bon article of Pierre JC Allard

    http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/la-grande-zizanie-133935

    « La Grande Zizanie »

  17. Pour les sectes il en va comme pour les grandes religions. Il y a des extrémistes, et des profiteurs qui abusent de la crédulité des autres. Ce sont eux qui causent les problèmes. Mais il n’en existe certainement pas plus que dans n’importe quel autre domaine d’activités humaines et ceux qui existent peuvent très bien être règlés au moyen des lois en vigueur sans avoir besoin de réinventer l’eau chaude.

    Malheureusement, les gens bornés de mouvance anti-sectes ne peuvent pas concevoir des concepts tels que liberté de pensée et croyance ou simplement libre choix. Pour eux, tous ceux qui ne pensent pas comme eux sont faibles et ont besoin d’être protégés. Alors bien entendu il n’y a pas de dialogue possible en dépit des millions que le gouvernement injecte dans ces entités et le problème ne se résout pas. (http://assr.revues.org/24034)

  18. Rovali, Bonjour.

    Je trouve très intéressante votre intervention, bien qu’à mon sens, pas toujours vraie.

    Il me semble que certaines des problématiques de fond concernant, soit les sectes, soit les grandes religions, sont en fait, à la base, des fondements erronés enseignés ainsi, avec leurs erreurs (fausses compréhension et interprétation des textes bibliques, et transformés en religieux) : on peut leur faire dire « tout et n’importe quoi », effectivement.

    Je m’interroge surtout, quelque peu sur ce que vous écrivez : « les gens bornés de mouvance anti-sectes ne peuvent pas concevoir des concepts tels que liberté de pensée et croyance ou simplement libre choix. »

    Pourquoi est-ce que vous pensez ainsi ? Je ne comprends pas très bien. On pourrait plutôt penser le contraire, non ?

    Bonne suite pour vous.

  19. Les bigots anti-sectes voient des sectes partout. Malgré des statistiques souvent délirantes quant à leurs exactitudes, il semble que là, ils marque un point: en effet, les sectes sont partout. Mais qui y a-t-il d’étonnant à cela puisque leurs membres proviennent de tous les niveaux de la société?

    Pourtant, le problème n’est pas là. C’est un problème de vision. Certains voient les sectes comme un symptome de malaise dans la société.

    D’autres comme une manifestation du droit de la liberté de pensée et de croyance, droit qui, je le rappelle, est reconnu par la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme qui fut signée en 1948 par l’ensemble des pays de l’ONU. http://www.diplomatie.gouv.fr/fr/IMG/pdf/DUDH.pdf

  20. J’ai la forte impression que ce problème de « sectes » soit un vaste canular qui ne sert qu’à justifier le gagne pain de scribouillards malhonêtes qui prétendent se rendre utile en faisant un foin à propos d’un problème qu’ils ont eux-mêmes monté de toutes pièces ou bien qui est dicté par certains intérêts particuliers tels que décrits dans ce témoignage: http://www.dailymotion.com/video/k1Ol0wErvsqjYC6NNE

  21. Je ne sais pas s’il y a une différence entre les deux si ce n’est pas convention.

    Pourtant, je ne pense pas que le problème soit là. Il se situe d’avantage dans l’antinomie spiritualité/anti-spiritualité telle que pratiquée par la laïcité militante.

    Sur le site du CAL (Centre d’Action Laïque) on y trouve cette phrase remarquable: « La laïcité politique, c’est cela : faire en sorte que l’Etat reste impartial, que les lois soient les mêmes pour tous et que des « lois religieuses » ne puissent venir s’y immiscer. Cette question touche aux fondements mêmes du mouvement laïque. »

    http://www.laicite.be/priorites/3_1_separation_eglises_etat

    Pour s’assuer que l’Etat reste impartial, les faux culs du Grand Orient de France n’hésitent pas à l’infiltrer pour y semer leurs valeurs.

    http://www.lesobservateurs.ch/2013/12/28/pas-de-separation-entre-letat-et-la-religion-maconnique/

    Cela n’aurait rien de répréhensible si ces mêmes individus ne criaient pas au scandal quand d’autres groupes de pensée n’essayaient pas de diffuser leurs propres valeurs dans la société.

  22. Il est rassurant de rappeler que nous vivons dans une démocratie où, parait-il, les gens ont encore le droit d’avoir leur propres opinions.

    Rien ne justifie les abus et violations de la loi auquels certains individus ou groupes s’adonnent sous un prétext ou un autre. Les lois existent et doivent être respectées et lorsqu’elles sont violées, c’est à la justice d’agir. Si on y regarde de près, sur les milliers de « sectes » supposées exister dans notre pays, des affaires qui vont au pénal, il y en a vraiment peu. Elles se comptent sur les doigts de la main. En fait, toutes proportions gardées, il y en a même moins que dans les autres domaines d’activités humaines.

    Voilà, j’ai bien peur que tout ce foin à propos des « sectes » ne soit qu’un prétexte. On braque le projecteur sur quelques groupes minoritaires de citoyens qui ne pensent pas comme tout le monde pour détourner l’attention des gens des vrais problèmes qui pourrissent la société. Voyez le très bon article « La Grande Zizanie » de Pierre JC Allard http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/la-grande-zizanie-133935

  23. Sectes, religions, c’est du pareil au même.

    Catholique, protestant, juif, musulman, témoin de Jéhovah, bouddhiste, mooniste, etc… tous pensent suivre la « vraie » religion (bien que les bouddhistes ont un concepte différent de l’Etre Suprême). Chacun de ces groupes a un point de vue différent sur le sujet. Quoi d’étonnant? Une société est composée d’individus et par définition un individu peut avoir des points de vue qui diffèrent de ceux d’un autre individu, n’en déplaise à ceux qui veulent « normaliser » la façon de penser des gens.

    Et le fait d’avoir un point de vue différent que celui de votre voisin ne fait pas nécessairement de vous des ennemis. Il existe des qualités telles que le respect, la tolérance etc. qui permettent – lorsqu’elles sont présentes – de vivre avec son prochain en harmonie. Je n’ai pas mentionné « athée » mais j’en connais beaucoup qui, de ce point de vue, pouraient donner des leçons à plus d’un croyant de quelque religion qu’il soit.

    Qu’importe la religion, c’est la façon de la vivre et de se comporter vis à vis de ses semblables qui compte. Manquer à cela est la porte ouverte à tous les abus.

    http://www.sectes-infos.net/Intolerance.htm

  24. D’abord le terme « secte » n’est pas clairement défini, ensuite si on utilise la terminologie des chasseurs de sectes, il faudrait y inclure une secte gouvernementale dont personne, ou presque, ne parle en ces termes. Il s’agit de la Miviludes dont les répercussions sous forme de commissions parlementaires coûteuses et inefficaces fait choux blanc dans ses derniers travaux. Au point où le contribuable est en droit de se poser la question de l’utilité de son existence et de la légitimité de son travail. Voir l’article « Miviludes : les dérives de la mission anti-dérives » http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/miviludes-les-derives-de-la-33560

  25. Et moi qui croyait que religions et sectes c’était du pareil au même – ou presque. En effet, ne dit-on pas qu’une religion est une secte qui a réussie?

    Il y a des nuances et l’histoire est intéressante de ce point de vue.

    De tout temps, les sectes ou nouveaux mouvements religieux ont été combattues par « l’établissement » politiques ou religieux du moment: les premiers chrétiens, pour se protéger, ont vécu dans les catacombes – ce qui n’a pas empêché d’ailleurs ces mêmes chrétiens de persécuter plus tard juifs, franc-maçons, et cathares. Et maintenant nous avons la franc-maçonnerie laïque, combattant toutes formes de spiritualités. Et d’insister que la Franc-maçonnerie n’est pas une secte alors que beaucoup la considère comme le groupe le plus sectaire de tous.

    Voyez http://www.indymedia.be/index.html%3Fq=node%252F25791.html

  26. stephane.feye@belgacom.net'

    Ce qu’il faut, c’est revérifier l’hypothèse de la religion quelle qu’elle soit, et pour cela, lire, à mon avis, : « Le Message Retrouvé » de Louis Cattiaux.

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