logo d'Évangile et Liberté

Numéro 223
Novembre 2008
( sommaire )

Questionner

La Bhagavad Gîta, récit qui daterait du iie siècle avant Jésus-Christ, développe une longue et riche réflexion sur l’homme. Elle n’est pas sans rappeler le principe de la justification par la Grâce seule, cher au protestant. Ce récit comprend déjà l’affirmation d’un Dieu unique.

Désir, action et détachement : La Bhagavad Gîta

Au début du Faust, Goethe voit le vieux savant penché sur le « Prologue » de l’évangile de Jean ; il s’interroge sur la meilleure traduction possible du mot grec : Logos. Tour à tour, se présentent les mots : Verbe, Parole, Force… Lui vient alors à l’esprit : Acte (Action). Apaisé, il traduit : « Au commencement était l’Acte. » De l’Acte originel dériveront le Cosmos, le Vivant, l’Homme et ses actions, pour le meilleur et pour le pire.

Écrasé par la puissance des forces naturelles, la souffrance et la mort, l’homme a cherché à se protéger, à se concilier ces forces plus ou moins déifiées, d’où l’émergence des concepts de sacrifice, d’œuvres salutaires, lesquels buteront, au fil du temps, sur le questionnement : qu’est-ce qu’un acte, une œuvre méritoire au regard de l’Absolu, du Tout-Puissant, du Tout-Autre ? On connaît la réponse des Réformateurs : la Grâce ne s’achète pas ; elle n’est pas monnayable, comme toute œuvre pieuse... feuille

(l'article complet sera en ligne en avril 2009)

Camille Jean Izard

haut

 

Merci de soutenir Évangile & liberté
en vous abonnant :)


Vous pouvez nous écrire vos remarques,
vos encouragements, vos questions



Accueil

Pour s'abonner

Rédaction

Soumettre un article

Évangile & liberté

Courrier des lecteurs

Ouverture et actualité

Vos questions

Événements

Liens sur le www

Liste des numéros

Index des auteurs


Article Précédent

Article Suivant

Sommaire de ce N°